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Phytothérapie et grossesse

Santé et grossesse

Principe de prudence

Il faut savoir que beaucoup d’études ont été faites sur les risques de tel ou tel médicament chimique pendant la grossesse, mais que très peu d’études ont été menées concernant les médecines douces comme la phytothérapie ou l’homéopathie. A souligner également qu’une étude affirme que la phytothérapie tend à augmenter le risque de prématurité. Par conséquent et par principe de prudence, il vaut mieux ne pas abuser d’une plante donnée. Ne faire appel aux plantes qu’en cas de désagréments réels…
Aussi, et par principe de prudence, préférez l’utilisation d’infusions, c’est la forme la plus douce pour une femme enceinte, notamment par rapport aux gélules par exemple et dont l’effet est plus puissant, ou aux hydrolats et teinture-mère.
Et l’intelligence des végétaux ?
Il faut noter également que selon l’aromathérapie quantique et toute l’approche quantique en médecine, l’intention compte beaucoup. Ainsi, « parlez » à votre camomille ou à votre verveine avant de faire l’infusion, communiquez avec elle, elle sera moins encline à vous faire du mal. C’est en tout cas ce qu’affirment des personnes comme Didier Rauzy, naturopathe et auteur de « L’éveil des nouveaux chamans ». Il a notamment travaillé sur le lien entre les végétaux et sur l’intelligence des végétaux et montré que notre intention pouvait modifier le comportement de la plante.
Précision…
Inutile de préciser qu’il vaut mieux choisir des plantes sauvages ou cultivées en agriculture biologique, disponibles en herboristerie ou pharmacie spécialisée. Les résidus de pesticides sont extrêmement nocifs pour une personne ordinaire, que dire pour une femme enceinte, qui porte une vie nouvelle.
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Phytothérapie et grossesse Reviewed by on 11 décembre 2014 .

Principe de prudence Il faut savoir que beaucoup d’études ont été faites sur les risques de tel ou tel médicament chimique pendant la grossesse, mais que très peu d’études ont été menées concernant les médecines douces comme la phytothérapie ou l’homéopathie. A souligner également qu’une étude affirme que la phytothérapie tend à augmenter le risque

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