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Après l’accouchement : résister au baby-blues 

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Après l’accouchement : résister au baby-blues 

Parlez-en avec votre conjoint ou un psychologue. L’aide professionnelle de ce dernier vous aidera à surmonter cette phase et reprendre votre vie avec un peu de sérénité.

Comment éviter de sombrer dans le baby-blues ?

Le baby-blues est passager mais ça peut devenir une dépression post-partum qui est plus intense et plus durable. L’allaitement peut être une bonne lutte contre la dépression post-partum. En effet, lors de l’allaitement, des hormones ayant un effet antidépressif se produisent. Donc si vous vous abstenez d’allaiter votre bébé ou si vous en avez envie mais vous ne pouvez pas, les risques d’avoir une dépression post-natale sont plus élevés. Allaiter est un choix, mais il est toujours recommandé de donner son sein au nourrisson jusqu’au sixième mois au moins.

Lors de la grossesse, le fœtus consomme les réserves maternelles pour la bonne construction de son système nerveux, surtout les acides gras Oméga 3, essentiels au bon fonctionnement cérébral. Après l’accouchement, une insuffisance en Oméga 3 chez la mère sera à l’origine d’une dépression post-partum. Dans ce cas, vous devez subir un traitement prophylactique d’Oméga 3 pour réduire un tel risque.

Il ne faut pas ignorer les signes d’un baby-blues ou d’une dépression post-partum. Il est nécessaire d’en parler et d’essayer de la dépasser aussitôt que possible.

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Après l’accouchement : résister au baby-blues  Reviewed by on 2 septembre 2016 .

Parlez-en avec votre conjoint ou un psychologue. L’aide professionnelle de ce dernier vous aidera à surmonter cette phase et reprendre votre vie avec un peu de sérénité. Comment éviter de sombrer dans le baby-blues ? Le baby-blues est passager mais ça peut devenir une dépression post-partum qui est plus intense et plus durable. L’allaitement peut être

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